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BALADE DES CENT COLS 2016. Celle là, il ne fallait pas la manquer !!

lundi 4 juillet 2016, par Hervé

Nous sommes arrivés. Aller-retour maison cela fait pratiquement 4000 km au compteur soit plus en une semaine que ce que font la majorité des motards en un an. Pas mal d’aventures, peu de galères et une très bonne ambiance.
Pour les 30 participants ce fut une formidable aventure malgré les aléas, les petits problèmes inhérents à la route et surtout les conditions atmosphériques déplorables.
Preuve en est du succès de ce Cent Cols 2016 : Ils seront tous au départ de l’édition 2018 .. enfin, sauf événement imprévu ..
En fait pour ceux qui veulent se lancer dans l’aventure, il va falloir être patients car on a déjà ouvert la liste d’attente.
Rendez vous fin juin 2018 où nous irons arpenter ??? On vous dira cela plus tard !!

Huit étapes sans problèmes majeurs mais les trois quart sous le régime "froid, pluie et brouillard", croyez moi, cela marque dans une année de moto .. et même dans une vie de motard.

ÉTAPE 1 : La Bresse - Le Poizat - 430 km - 14 cols.

Départ de chez nos partenaires de l’ hôtel des Vallées où nous fûmes comme toujours hyper bien reçus et où la prestation fut à la hauteur de l’événement, pour attaquer la traversée des Vosges et d une partie de l’ Alsace afin de rejoindre le Jura . Une étape qui allait inaugurer une grande série de routes plus ou moins humides et qui a, d’entrée, donné le ton de ce Cent Cols édition millésimé.

A noter : le passage du Ballon d’Alsace dans le brouillard le plus compact, la visite du Cirque de Consolation sur une route fraîchement gravillonnée, le froid vers la Chaux des Crotenays, la descente vers Les Jouvencelles et la magnifique mais très étroite route des Tuffes, le jardinage intégral vers le Lac Génin et le col du Sentier et l’arrivée sous le déluge au Poizat dans une auberge qui fut le seul endroit où nous fûmes reçus sans grand enthousiasme .. on oubliera de vous la signaler , si vous allez dans le coin privilégiez les chambres d’hôtes !!

ETAPE 2 : Le Poizat - Chichilianne - 432 km - 24 cols.

Départ du Poizat pour découvrir les derniers contreforts du Jura et s’engager dans la partie nord des Grandes Alpes avec au programme des petites bricoles comme Le Grand Colombier, le Granier et le Cucheron, ces haut lieux tant prisés par le Tour de France cycliste. Histoire de rigoler un peu nous avions décidé d’éviter Grenoble par le nord. Il fallait pour cela traverser la Chartreuse par la forêt du Selet. Nous avions trouvé en reconnaissance la route forestière qui passait par le col du Coq ... grand moment .. Par contre ce que nous n’avions pas prévu c’est que cela se passerait sous la pluie et dans un brouillard à couper au couteau.

Encore un truc à refaire.
Heureusement le temps se dégagea quelque peu au cours de l’après midi et la fin de l’étape se fit dans des conditions un peu moins dantesques. Nous sommes enfin arrivés dans un lieu à retenir : Le Château de Passières à Chichilianne, c’est plus qu’un hôtel, c’est un véritable musée. Comme la cuisine fut à la hauteur de la qualité de l’accueil et du lieu, cela nous remit du baume au cœur. Il en fallait car le lendemain allait se dérouler l’étape la plus longue.

ETAPE 3 : Chichilianne - Besse - 466 km - 19 cols

Lorsque j’ai ouvert les volets j’espérai voir un peu de soleil mais la pluie était encore au rendez vous .. Quand vous voyez ce temps là vous n’aspirez qu’à retourner vous coucher ou alors vous sortez la bagnole pour aller chercher le pain .. Là il allait falloir se farcir plus de 450 bornes et l’amélioration n’était pas prévue pour de suite !! Nous avions concocté un parcours qui mêlait l originalité à la découverte en occultant les grandes Alpes pour privilégier le Vercors, glisser ensuite le long des premières vallées de la Loire et terminer dans le haut Allier pour finir au cœur des volcans d’Auvergne.

Cela aurait pu être merveilleux ce fut quasiment l’enfer. Jusqu’à environ 15 h nous naviguâmes dans un brouillard des plus épais et hormis un petit bout du Col de la Machine nous n avons rien vu de la première partie du parcours. Ce fut la première fois que je traversais tout le Vercors sans jamais voir un paysage .. je ne vous raconte pas combien cela bouillait sous le casque.
Ce n’est que lorsque nous avons rejoint la basse vallée pour passer L’Isère et le Rhône que cela se dégagea, on a pu même manger en terrasse à Tain L’Hermitage. La fin du parcours se fit en jardinant agréablement au gré de quelques petites averses, les uns privilégiant le tourisme, les autres ayant quelques velléités en découvrant que le road book les faisait emprunter quelques unes des spéciales habituellement parcourues par les rallyes routiers qui arpentent régulièrement la région.

L’arrivée dans le Parc naturel des Volcans fut toutefois une véritable merveille avec un foisonnement de couleurs et des paysages sans pareils.
Nos amis de l’hôtel des Mouflons à Besse nous accueillirent avec une certaine compassion, compte tenu de l’état dans lequel nous arrivions. Rien à dire sinon merci pour la qualité de l’hébergement et du repas concocté par le chef. Adresse encore à retenir.

ETAPE 4 : Besse - Millau - 409 km - 11 Cols

C’était parti sous la flotte pour encore un peu plus de 400 km. En montant le Col de la Croix St Robert cela se leva quelque peu ce qui nous a permit d’entamer une jolie partie de manivelle. La suite fut au gré des nuages et des averses .. Montboudif .. flotte, Pra de Peyrol, brouillard, Curebourse ... miracle, soleil, Aubrac, tout gris ... cela jusqu’à St Enimie ou nous entamèrent les Gorges du Tarn sous une belle visibilité et un soleil voilé ..

Nous avons pris un itinéraire absolument pas connu au cours duquel nous avons joué au gré des falaises et des roches trouées sur des routes qui avaient la largeur d’une table de billard .. et encore !! Moment de grâce lorsque nous sommes descendus de St Pierre les Tripiers pour découvrir le Tarn au fond du canyon. Après une petite visite au chaos de Montpellier le Vieux nous sommes arrivés à Millau où le Millau Hotel Club, haut lieu prisé par les motards , nous attendait. Le repos était le bienvenu, les premiers eurent le temps de faire la sieste avant que le peloton n’arrive .. Cela sentait le sud, la soirée fut chaude.

ETAPE 5 : Millau - St Paul de Fenouillet - 406 km - 26 Cols.

L’étape la plus fournie en cols nous attendait, à savoir si nous allions la faire en mode "rain" ou en mode "sport". Eh bien ce fut un mix des deux. La grande traversée du Larzac et de l’Aveyron fut merveilleuse. Sur de petites routes au milieu des paysages à couper le souffle, arpentant ce haut plateau complètement fleuri nous avons passé l’un des plus beau moment de notre balade. Pour rejoindre la haute vallée de l’Orb cela allait encore.

Cela s’est dégradé quand nous avons atteint les hautes Corbières, virant franchement à l’orage au moment de trouver le Cidobre et la pluie nous est revenue sans discontinuer pour rejoindre le Fenouillède, notre destination. Encore une fois il a fallu faire preuve d’ingéniosité pour tout faire sécher à l’hôtel. Un hôtel que nous pouvons vous recommander : Le Châtelet à St Paul de Fenouillet ... Accueil, service, installations, confort, cuisine, gentillesse extrême .. tout y était. Le soisr lorsque je me suis couché en passant ma main derrière les oreilles j’ai senti une légère excroissance .. C’était ça, il me poussait des ouïes !!

ETAPE 6 : St Paul de Fenouillet - Estelle-Bétharram - 416 km - 19 Cols.

Lorsque nous avions fait le briefing de départ nous avions largement annoncé que si, dans les Pyrénées, les conditions atmosphériques n’étaient pas favorable, la balade allait virer à l’enfer. Eh bien nous ne nous sommes point trompés .. par moments .. ce fut !!

La première partie de la journée, au gré des châteaux cathares, nous permis quand même de faire quelques clichés mais quand on voyait le rideau de nuages qui couvrait le coté haut dans lequel nous allions nous enfoncer j’avoue que cela ne donnait guère envie. A peine avions nous pris de l’altitude qu’il fallu de nouveau renfiler les tenues et alors ce fut un véritable festival ... Portet d’Aspet, c’est où ? Mente .. Ah oui ? Peyresourde .. Pluie et 7°C .. Ancizan ..

Ah Ancizan .. froid, brumeux mais avec de la visibilité , une visibilité qui nous a fait découvrir un paysage sorti de l’Eden. J’a rarement vus quelque chose d’aussi beau. Indescriptible.

Au Tourmalet il y a eu une petite percée de visibilité qui nous a permis de découvrir les lacets descendants mais la fin de l’étape se fit sous une pluie battante et lorsque nous sommes arrivés à Lourdes plus personne ne croyait aux miracles !! Heureusement que nous nous sommes arrêtés au Vieux Logis, quel accueil et quel service. Tout le monde était à nos petits soins et comme le repas était extraordinaire il y a de grandes chances pour que cet endroit soit, à un moment comme à un autre lieu étape pour l’une de nos prochaine balade.

ETAPE 7 : Betharram - Esterençuby - 408 km - 15 Cols.

Au cours de cette seconde grande étape pyrénéenne nous allions pénétrer en Espagne, voir l’océan du coté de San Sébastien et revenir sur St Jean Pied de Port à travers le pays basque ... Cà c’était le programme .. En principe nous devions rentrer dans la patrie des bérets par la vallée d’Ossau, découvrir les merveilleux paysages des grands cols de Porteigt et de Marie Blanque puis rentrer chez les Ibères par la Pierre St Martin et ensuite jardiner que peu pour retrouver la côte atlantique.

C’est ce que nous fîmes, avec juste un petit détail : des trois quarts de l’étape nous n’avons rien vu, subissant orages, pluie, vent, froid ... 0° C quand même en haut de la Pierre St Martin avec de la neige sur la route !! ... L’Espagne fut parcourue dans le brouillard le plus complet, au gré d’un GPS qui heureusement n’a pas failli. Cela s’est un peu dégagé lorsque nous avons atteint le rivage mais un vent terrible nous a dissuadé de faire de trop longs arrêts .. Certains sont arrivés fort tard à l’étape et on peut quand même tirer un grand coup de chapeau à Marie, la seule pilote de la troupe, qui a subit sans broncher les affres du temps et de la route et qui a accompli la totalité du parcours ...

Nous avions vu l’océan, c’était le but. Maintenant il fallit juste finaliser la balade. Hébergement, repas, ambiance .. Rien à redire à l’Auberge Andreinia à Esterençuby, un haut lieu de la tradition hôtelière en pays basque.

ETAPE 8 : Esterençuby - Villeneuve de Rivière - 303 km - 20 cols

Dernière étape de cette balade au long court qui allait nous faire passer les plus beaux cols du pays basque sur des routes tellement étroites qu’une vache peut les sauter ..

Le plafond était à 1100 m, en dessous nous avons pu apprécier la beauté extraordinaire des lieux au gré des monts et des descentes au milieu des pâtures et des des vallons en faisant gaffe aux troupeaux les plus variés qui partageaient la route avec nous. Tout le monde mit la pédale douce pour cette ultime épreuve car il n’était pas question d’avoir le moindre problème avant l’arrivée de ce Cent Cols 2016.

Vous me direz, pour certains, il n’était plus d’actualité de jouer trop sur le revêtement humide compte tenu de l’état plus que critique des pneumatiques. Nous avons passé le dernier col avec toutefois un certain soulagement et ce fut sous un chaud soleil que tout le petit monde est arrivé à Villeneuve. Que dire de l’hostellerie des Cèdres ? Ce fut parfait. Une véritable étape d’arrivée et un endroit qui donne envie de revenir à titre individuel juste comme ça, pour encore plus profiter.

BILAN GÉNÉRAL DE LA BALADE.

Au bas mot, entre le fait de rejoindre le point de départ ou de rentrer chez soi depuis l’arrivée, tout le monde a effectué à peu près 4000 km soit, en une grosse semaine, plus que ce que la moyenne des motards français va parcourir en une année.

Avec les deux accompagnants il y avait 28 machines au départ, des motos complètement hétéroclites allant de la "grosse" GoldWing à la "petite" KTM 690 Duke R en passant par les traditionnelles 1200 GS et autre Triumph Tiger. On a constaté pour cette cession une large augmentation du nombre de KTM, il est vrai que depuis que le Cent Cols existe l’usine autrichienne nous a toujours aidé, c’est un juste retour des choses.

Comme à chaque Cent Cols il faut une moto atypique, cette année c’était une BMW 80 GS des années 80, complètement remise en état par son propriétaire et qui, hormis un petit soucis de batterie, ne lui posa aucun problème.

28 pilotes au départ et 28 à l’arrivée, ce malgré des étapes hors normes chacune d’une longueur démentielle sur des routes quasi vicinales. Des étapes qui se sont succédées sans aucune pause avec des conditions atmosphériques désastreuses .. Tout était réuni pour que cela tourne au désastre eh bien, lorsque l’on a vu l’ambiance qui a régné tout au long de cette balade et la promesse que chacun a fait de revenir en 2018 accomplir la sixième édition du Cent Cols on se dit que c’était quand même une belle partie de manivelle.

Quand on regarde ce qui c’est passé .. 6 crevaisons .. 6 pneumatiques changés au cours du trajet ( quand on vous dit qu’il faut partir avec des pneus NEUFS !! ), 3 petites chutes sans gros dommages, 2 incursions dans des champs divers pour éviter des engins agricoles ou des touristes venant à contre sens .. Un entretien tous les soirs des machines qui en avaient bien bavé toute la journée .. Merci Manu !! C’est quand même de la bricole. Il faut dire que l’on avait bien préparé la balade, soigneusement choisi les itinéraires et que l’attention au briefing de chaque soir était soutenue ( cela ne fait pas de mal de s’auto féliciter !! )

On ne vous parle même pas du nombre de virages parcourus ni du nombre de changements de vitesse ... pour vous donner une petite idée regardez la godasse d’Adrian !!

Une pilote au départ, une pilote à l’arrivée, 28 partants, 28 rentrants, 3500 km de départementales, 148 cols franchis, 67300 m de dénivelé positif, plus de 45 km/h de moyenne en déplacement, plus des trois quart du parcours effectué sous la flotte ... Eh bien, les copains, vous avez bien mérité votre tee-shirt et vous pouvez le porter avec fierté.

Ce genre de truc, personne, hormis nous, ne vous le proposera et désormais, sachant par où vous êtes passés, quel que soit le parcours que vous pourrez faire sur vos motos respectives soyez persuadé .. que rien ne sera plus dur !!

Bravo à tous et rendez vous en Juin 2018, on va vous en concocter un autre qui ne sera pas piqué des vers .. attendez vous à découvrir les Alpes .. françaises et italiennes .. !!!

Mais cela on vous en parlera plus tard en attendant vous pouvez toujours venir avec nous en Corse du 22 au 30 Octobre cela sera vraiment plus cool et, on vous le promet, il y fera beau .. enfin sûrement !!

Hervé et Manu.


Voir en ligne : KTM France

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Messages

  • Bravo pour ce recit qui retrace cette experience unique et inoubliable que nous avons tous vécu et ce grace a vous.

    je serais la pour l edition speciale des cents cols 2018

    amitiés

    jean

  • Bonjour,
    Je peux vous avouer qu’en arrivant le 1er jour je ne l’ai pas « ramené large » au milieu de toute cette équipe de motards, moi la seule fille : « Marie »…… et au début au vue des conditions atmosphériques déplorables mon moral n’était pas au beau fixe mais c’était sans compter sur la très bonne ambiance qui a régné dès le début et tout au long de l’aventure et qui m’a fait très vite retrouvé le sourire.
    Je remercie Hervé, l’organisateur, qui m’a permis de prouver qu’avec un minimum d’entrainement, une bonne dose de volonté et le partage d’une passion commune la moto, « nous les filles », nous pouvons prétendre à faire cette balade mythique et fabuleuse que sont les Cents cols.
    Je suis très fière également d’avoir roulé avec tous ces motards, pilotes chevronnés, qui m’ont considéré comme une pilote à part entière et avec lesquels j’ai beaucoup appris ; merci à mes "formateurs-ouvreurs" d’un jour Bruno, Michel ect….. et à tous les garçons.
    J’ai ouvert la voie « des Cents cols » aux motardes, maintenant à vous les filles de tenter l’expérience qui sera inoubliable !
    Amitiés – Marie des Cents Cols 2016

  • Commentaire repris suite au message que Pascal a fait passer.

    Hello les gars,

    comment ça va ?

    je sais pas vous mais moi ça me manque de rouler avec vous, c’était quand même bien de grimper des cols magnifiques que ne voyait même pas dans un brouillard dense et sous la flotte et je ne parle pas des jour ou on se caillait ni du vent.

    Ben moi ça me manque de me trainer la teub derrière vous sans savoir ou j’allais ni pourquoi j’y allais.

    Ça me manque de me réveiller derrière la grosse bleue sans rien voir du paysage à cause de son gros cul. de toute façons j’voyais rien j’avais pas les yeux ouverts.

    Il me manque le Cedric toujours l’air énervé par le monde, alors qu’il ne pense qu’à rigoler et se taper des gonzesses pis finalement remonte sur sa bécane pour rouler sur la bande blanche. Ça me manque même de l’enrhumer par la droite et que ça l’énerve.

    Ça me manque aussi de faire le kéké dernière Hervé sur sa pétrolette miniature.

    Et puis j’aimais bien rouler derrière la GS ( pour moi ça restera toujours une Citroën) qui roule si clean surtout sous la pluie et qui fout la honte à des CBR et autres VFR pétrifiées dans une descente de col trempé, et comme il est pervers le professeur il les attend en bas du col pour leur montrer qu’en montant il leurs fout la honte aussi.

    Et je ne vous parle pas d’Adrian, qui fait semblant de se traîner au fond de la classe alors qu’il est capable de "vivre" à l’anglaise pour doubler un CCC sans visibilité.

    Je vous dirai pas que ça me manque de me péter la gueule sur un plaque de gravier planquée en cherchant des excuse bidons, mais quand même....

    Bref quand est-ce qu’on roule ?

    il pleut aujourd’hui chez moi ça doit venir de la.

    Sinon trêve de conneries, j’ai faim on va bouffer quand au Faitout il reste plein de plats à déguster, putain c’était bon. Fin août ?

    Aller les gars on arrête de se faire chier à bosser. On roule quand même.

    Bises à tous et à vos femmes qui ont la chance de ne pas me connaître.

    Pascal

    PS : Adrian désolé je suis incapable de traduire mes conneries.

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